Freelances expatriés à l’étranger : comment profiter d’une mutuelle et de la retraite ?
Travailler en freelance à l’international, c’est le rêve de nombreux consultants : pouvoir vivre à Lisbonne, à Dubaï ou à Londres tout en facturant des clients du monde entier, sans contrainte géographique. L’expatriation séduit de plus en plus de profils expérimentés de la tech ou de l’IT, attirés par la flexibilité, le climat, ou encore les opportunités professionnelles offertes à l’étranger.
Mais derrière cette liberté apparente, une question cruciale se pose très vite : comment être bien protégé quand on travaille à l’étranger ? En quittant la France, beaucoup de freelances perdent leur mutuelle, leur retraite, et même certaines protections sociales essentielles. Et les systèmes locaux, souvent très différents, peuvent être coûteux ou incomplets. Sans compter les complexités administratives pour les obtenir quand on est étranger !
Découvrez comment bénéficier d’une complémentaire santé et de la retraite en freelance l’étranger sans devoir créer un statut freelance ou une entreprise dans votre nouveau pays !
Quitter le régime Français et ses conséquences
En déménageant à l’étranger, les démarches administratives sont nombreuses, et la protection sociale est l’un des sujets incontournables. Pourtant, de nombreux freelances négligent leur couverture santé et leur cotisation à la retraite.
En choisissant de s’installer et travailler à l’étranger signifie que vous n’êtes plus affilié à l’URSSAF ou à la CPAM : vous sortez du régime de Sécurité sociale française. En effet, n’étant plus résident fiscal dès lors que vous travaillez plus de 6 mois à l’étranger.
Ainsi :
- Vous ne bénéficiez plus de la couverture santé française : soins, hospitalisation, remboursement des médicaments, etc.
- Vous ne cotisez plus à la retraite française : ni à la retraite de base, ni à la complémentaire.
- Vous perdez l’accès aux droits sociaux : chômage (si vous y aviez le droit), indemnités maladie, ou prévoyance
- Vous ne pouvez plus bénéficier d’une mutuelle française (complémentaire santé).
En résumé, vous devenez votre propre “filet de sécurité”.
Problème : à l’étranger, les systèmes varient d’un pays à l’autre. Dans certains systèmes comme le Royaume-Uni ou la Suisse, la santé repose sur un système d’assurance privée obligatoire (le NHS au Royaume-Uni est gratuit, mais très lent et limité pour les étrangers).
À Dubaï, par exemple, une assurance santé privée est obligatoire pour obtenir un visa de travail, et son coût moyen se situe entre 1 500 et 4 000 € par an selon les garanties.
Se couvrir à l’étranger : service public vs privé
En tant que freelance expatrié, vous disposez généralement de trois grandes options pour votre couverture santé et votre retraite :
1. Le régime local du pays d’accueil
Dans certains pays européens comme l’Espagne ou le Portugal, vous pouvez vous affilier au régime public local, souvent plus accessible et moins cher. Mais attention : ces régimes ne couvrent que les résidents fiscaux et ne proposent aucune couverture internationale. Par exemple, si vous rentrez temporairement en France ou que vous travaillez avec des clients à l’étranger, vous risquez de ne pas être suffisamment protégé.
2. Les assurances privées internationales
Des assureurs privés comme AXA, April International ou CFE (Caisse des Français de l’étranger) proposent des contrats santé aux freelances expatriés travaillant à l’étranger. Ces formules permettent une couverture dans plusieurs pays, mais elles sont coûteuses et parfois complexes à obtenir. Pour un consultant seul, il faut compter entre 2 000 € et 6 000 € par an pour une couverture complète avec rapatriement et hospitalisation (source : Cleiss, 2024).
3. Les solutions hybrides : portage ou gestion d’activité internationale
C’est probablement l’option la plus simple et la plus intéressante financièrement pour les consultants indépendants qui veulent travailler librement tout en conservant une sécurité similaire au système français. Grâce au portage international ou la gestion d’activité Hightekers, un consultant peut bénéficier d’une excellente couverture sociale tout en vivant à l’étranger, grâce à un mutuelle premium et un contrat de travail local.
Ainsi, vous pouvez vous expatriez en freelance tout en continuant de travailler pour vos clients français (ou internationaux), et Hightekers vous fournir un contrat de travail local (équivalent au CD), incluant une mutuelle, la prévoyance, la retraite et les cotisations sociales. Tout cela pour exercer en freelance à l’étranger sans devoir créer d’entreprise ni de statut dans votre nouveau pays.
Mutuelle et retraite freelance à l’étranger
La mutuelle santé à l’étranger : l’indispensable
Si vous devenez freelance à Londres, Zurich ou Dubaï (pour ne citer que quelques destinations), les coûts de santé peuvent rapidement devenir astronomiques. À Dubaï, une hospitalisation sans assurance peut coûter jusqu’à 15 000 € pour une simple appendicite. En Suisse, une consultation généraliste dépasse souvent 100 CHF sans complémentaire.
Les mutuelles expatriés classiques pour les indépendants couvrent les soins, mais avec des plafonds et des franchises parfois élevés. À l’inverse, la mutuelle Hightekers est incluse dans votre contrat local et négociée à un tarif avantageux, avec une couverture comparable à celle des grandes entreprises françaises. Vous bénéficiez donc d’une assurance santé complète, que vous soyez en Europe, au Moyen-Orient ou ailleurs. Et toujours sans avoir à gérer votre administratif.
La retraite à l’étranger : penser à long terme
Quand on part travailler à l’étranger, on ne sait jamais vraiment pour combien de temps. Entre opportunités de missions, rencontres et aléas, il n’est pas rare de prolonger son expatriation toujours un peu plus. Il est donc important de prévoir ses cotisations retraite dès le début, au risque de s’en mordre les doigts rapidement.
Avec Hightekers, vous cotiserez à la retraite générale du pays dans lequel vous décidez de vivre et de travailler. Si vous restez au sein de l’UE, les accords feront que vous pourrez valider vos trimestres en France aussi (Règlement (CE) n°883/2004). Vous pouvez aussi profiter d’une retraite complémentaire si vous le souhaitez.
Comment être bien couvert à l’étranger avec Hightekers ?
Hightekers simplifie le freelance à l’étranger : vous n’avez plus besoin de créer de structure locale ni de gérer quelconque formalités administratives dans votre pays d’accueil.
Hightekers s’occupe de tout grâce à ses antennes locales et nos experts sur place :
- Vous profitez d’un contrat de travail local (équivalent CDI) dans votre pays de résidence, tout en restant 100% freelance
- Vous travaillez librement avec les clients de votre choix, en France ou à l’étranger
- Vous bénéficiez d’une complémentaire santé, d’une prévoyance, d’une retraite et d’une protection chômage. Tous les avantages du CDI, même à l’étranger !
- Votre salaire est versé chaque mois en toute transparence, avec un revenu net amélioré. Le pourcentage du revenu net par rapport au brut varie selon le pays en question.
C’est la solution idéale pour les consultants indépendants expérimentés souhaitant vivre à l’étranger, tout en étant bien couverts pour le présent et l’avenir, et sans se soucier de l’administratif dans un pays que l’on connaît moins.
Le freelance à l’étranger avec la même mutuelle et retraite qu’en France
Être freelance expatrié ne signifie plus devoir choisir entre liberté et protection sociale. Aujourd’hui, des solutions comme Hightekers existent pour combiner les deux, et pour ne plus hésiter à travailler dans un autre pays.
Grâce à un contrat de travail local, vous continuez à bénéficier d’une mutuelle complète, d’une retraite stable, et d’une protection sociale premium, où que vous décidiez d’exercer comme indépendant. Vous restez maître de votre activité, de vos clients et de vos missions, et surtout de votre lieu de vie, tout en profitant d’une sécurité que même certains salariés envient.
Devenez freelance à l’étranger avec Hightekers